09/07/2019 : Des jeunes de Notre-Dame-de-Bondeville ont fait du propre en forêt
Une nouvelle opération Nettoyons la forêt s’est déroulée mercredi 3 juillet, quartier Jean-Moulin. Bon nombre d’enfants, de jeunes inscrits dans le dispositif Contrat partenaire jeune, et de nombreux adultes se sont retrouvés aux abords de la forêt d’Houppeville-Sylveison à côté des immeubles de la rue de la Paix.
L’opération était menée à l’initiative du bailleur social Habitat 76 représenté par Élodie Celerier, chargée du site, Christophe Coppola, médiateur garde particulier, assisté des agents travaillant sur ce quartier et en partenariat avec le centre communal d’action sociale représenté par Arnaud Mouillard, et l’Association lire, échanges et découvertes, présidée par David Perrault.
Après une distribution de gants, de sacs poubelles et des chasubles, tous les acteurs présents ont déambulé aux abords des immeubles et à l’orée de la forêt et collecté bon nombre de détritus. Au terme de cette mobilisation écocitoyenne, tous ont été remerciés pour leur investissement et leur solidarité. Ils ont partagé, dans la bonne humeur, un goûter offert par le bailleur social.
05/07/2019:De l’usine à l’expo : « Matrice » rassemble 1400 moules de l’entreprise marommaise Senard
Dans le vaste hangar du Shed, Centre d’art contemporain situé à Notre-Dame-de-Bondeville, l’impact visuel de l’exposition « Matrice » est saisissant, créant un véritable choc esthétique. « On est entré par hasard sur le site l’ancienne usine Senard qui a fermé en 2014 », explique Jonathan Loppin, à l’origine du projet. Ç’a été un choc de voir tous ces moules qui sont très beaux. »
Depuis 1870
Le sauvetage va être l’occasion d’une sauvegarde pas ordinaire. 1 400 matrices en bois de toutes les couleurs sont récupérées, nettoyées et mises en scène au Shed, grâce à l’aide de bénévoles, qui souvent ont connu l’usine. Depuis 1870, Senard réalisait des moules en sable d’après les matrices en bois pour ensuite fabriquer des pièces de métal pour ses clients : de la SNCF aux particuliers.
Les originaux voués à la destruction sont installés sur de simples tables supports de 18 mètres de long. L’effet produit et voulu par le curateur Jonathan Loppin joue sur les formes et les couleurs, cherchant l’harmonie de l’ensemble.
Le résultat bien loin du classement raconte encore une autre histoire que celle du patrimoine, forgeant un nouveau dialogue entre art et industrie. Il reste à trouver désormais comment pourra être stockée après l’exposition cette – encombrante – collection si particulière...
Au Shed à Notre-Dame-de Bondeville jusqu’au 21 juillet. Le musée de la Corderie Vallois s’associe au projet et propose une exposition avec l’historien Alain Alexandre sur l’histoire de Senard. Jusqu’au 1er septembre 2019. publics@le-shed.com et 06 51 65 41 76.
À l’Académie, à Maromme, le Shed présente la deuxième partie de l’exposition où des œuvres d’artistes contemporains possèdent toutes un lien avec la « collection » Senard. Ainsi de la céramiste Héloïse Bariol avec ses formes en sable réfractaire, Jonathan Loppin lui-même qui présente une partie du travail qu’il mène actuellement sur le site de la fonderie de Renault Cléon sur des rebus, ou encore le disque média et médium de Jérôme Poret diffusant l’univers sonore d’une fonderie. L’œuvre la plus impressionnante est sûrement celle de Guy Lemonnier. Datant des années 80 et intitulée « Memento », elle se divise en trois parties : un journal qui relate toute son activité quotidienne du lever au coucher durant une année, l’empreinte du corps de l’artiste à 24 ans, et la toile posée chez lui durant un an également et qui a conservé les traces de ce lieu de vie. Cette deuxième partie d’exposition a été confiée à Jean-Paul Berrenger.
22/06/2019:L’octogénaire attendait son infirmier, deux faux policiers lui volent ses bijoux près de Rouen
Une femme âgée de 88 ans s’est fait dérober des bijoux par deux hommes se faisant passer pour des policiers mercredi 19 juin 2019 à Notre-Dame-de-Bondeville. Ils ont profité du fait que la porte du logement était ouverte car l’octogénaire attendait son infirmier.
Deux hommes sonnent et rentrent
Les faits sont survenus vers 12h30 route de Dieppe à Notre-Dame-de-Bondeville. La victime avait laissé la porte de son domicile ouverte dans l’attente de son infirmier. Deux individus ont sonné et pénétré dans le logement. Ils se sont présentés comme étant des policiers en exhibant deux cartes format cartes bancaires, censées être leur carte professionnelle.
Ils ont commencé à expliquer la Bondevillaise que des camrbiolages avaient eu lieu dans le secteur. Ils lui ont monté un bracelet en lui demandant s’il lui appartenait, ce qui était le cas. En fait ce bijou se trouvait initialement sur un petit meuble situé dans l’entrée de l’habitation.
Besoin de relever ses empreintes
Ils ont obtenu de faire un tour des pièces pour vérifier que rien d’autre n’avait été volé. Puis ils ont indiqué à la femme qu’ils avaient besoin de relever ses empreintes. Elle devait enlever les bijoux qu’elle portait pour cela. La victime s’est exécutée. Les deux faux policiers ont ensuite déclaré qu’ils devaient aller chercher le matériel de prise d’empreintes dans leur véhicule et qu’ils revenaient.
Ne les voyant pas revenir, l’octogénaire a donné l’alerte. Elle s’est fait dérober un bracelet et deux bagues.
18/06/2019 : Le groupe pharmaceutique Aspen poursuit son expansion dans la métropole rouennaise
C’est un chantier de taille, effectué en un temps record, qui valait bien la visite d’un membre du gouvernement. Lundi 17 juin, la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, Agnès Pannier-Runacher, a assisté à l’inauguration du nouveau bâtiment de production de médicaments anesthésiques d’Aspen, à Notre-Dame-de-Bondeville.
Pour rappel, Aspen est un groupe sud-africain fournisseur de produits pharmaceutiques, qui a repris, en 2014, le site situé à proximité de Rouen. Depuis cinq ans, c’est une enveloppe de pas moins de 100 M€ qui a été fixée pour augmenter sa performance industrielle, dont 65 M€ d’investissements pour le projet Thor, concrétisé par la construction dudit bâtiment.
Ainsi, à la production de seringues préremplies en produits finis — 165 millions d’unités sont en grande partie (92 %) expédiées à l’international chaque année — s’ajoutera bientôt la production de produits anesthésiques sous forme d’ampoules « en grappe » et de poches. Ils seront destinés à l’Australie, la Chine, la Russie ou encore au Japon. Cent emplois seront créés pour assurer cette nouvelle activité.
Un équipement de pointe dès 2020
Bien qu’encore complètement vide (les essais des équipements qui viendront le meubler sont prévus pour septembre), le bâtiment flambant neuf de 7 000 m² semble avoir impressionné Agnès Pannier-Runacher. La secrétaire d’État a profité d’une visite guidée par le directeur du site, Jean-Charles Rousset, pour rappeler « les objectifs du gouvernement », devant les équipes d’Aspen, le député de Seine-Maritime Damien Adam, le président de la Métropole Frédéric Sanchez, le député de la 5e circonscription de Seine-Maritime Christophe Bouillon et la directrice générale des opérations du groupe, Lorraine Hill.
« Le gouvernement veut augmenter l’attractivité du territoire et mener une reconquête industrielle. Il faut souligner que la France est le premier pays d’Europe en termes d’investissements industriels venant de l’étranger, et le cinquième dans le monde. En 2018, le pays a accueilli autant d’investissements que le Royaume-Uni et l’Allemagne réunis. »
Une manière de renverser la vapeur après la suppression d’un million d’emplois industriels entre 2000 et 2016, comme la secrétaire d’État le rappelle elle-même. Elle ajoute que la reconquête industrielle est illustrée par l’initiative « Territoires d’industrie », annoncée par Édouard Philippe en novembre 2018 et basée sur l’identification des besoins d’un territoire afin de concentrer les moyens d’action pour y répondre. « Il s’agit de faire de la dentelle, et de ne pas hésiter à déléguer aux élus locaux. »
Et le site va continuer son expansion : après les lignes de remplissage Etna et Stromboli (38 M€ d’investissements pour cette dernière) en 2009 et 2015, une troisième ligne de remplissage haute cadence, Vésuve, sera mise en place dès 2020 pour un coût total de 15 M€. Sa capacité, supérieure à celle des lignes déjà en place, permettra de produire 180 millions d’unités.
— 16 : le nombre de sites de fabrication de produits pharmaceutiques que possède Aspen. Ils sont répartis sur six continents.
— 2,6 : en milliards, c’est le montant du chiffre d’affaires réalisés par le groupe sud-africain sur l’année 2017-2018.
04/06/2019 : Les maternelles des écoles de Notre-Dame-de-Bondeville exposent à la bibliothèque
Une exposition des travaux des 225 élèves des écoles maternelles Louis-Duteurtre, Jean-Moulin et André-Marie se tient actuellement à la bibliothèque municipale Mathilde-de-Rouvres. Le vernissage de l’exposition s’est déroulé mardi 28 mai, en présence des adjointes Martine Guézouli et Martine M’Foutou, d’élus, d’enseignantes et du personnel de la bibliothèque et des familles.
Autour de l’univers d’Hervé Tulet
« Le service culturel de la Ville, en partenariat avec l’équipe de la bibliothèque, a organisé une action de médiation culturelle autour de l’auteur et illustrateur jeunesse, Hervé Tullet, a rappelé Martine Guézouli. Les objectifs de ce projet étant : faire découvrir ou redécouvrir des albums d’Hervé Tullet, apporter à l’école le plaisir de la lecture, développer l’imaginaire et la créativité artistique, favoriser l’expression dans deux domaines artistiques (les arts plastiques et la danse) et créer du lien entre l’artiste et les enfants. »
Les élèves ont fait connaissance avec les livres de cet auteur en les manipulant et en les écoutant, mais aussi à travers des ateliers d’arts plastiques et de danse menés par Solène Pitou et Anne-Laure Mascio, de la compagnie Sac de nœuds.
Cette exposition est le résultat de tout ce travail en partenariat avec les enseignants, autour de l’univers d’Hervé Tullet ; un travail sur les couleurs primaires, les secondaires, le noir, les ronds, les traits ou encore les boucles.
03/06/2019 : Matrice, une exposition sur le patrimoine industriel de l’ancienne fonderie Senard de Maromme
Centre indépendant dédié à l’art contemporain créé en 2015 dans l’ancien atelier de l’usine Gresland, le SHED propose, jusqu’au 21 juillet, une exposition intitulée « Matrice » qui met en lumière le patrimoine industriel.
Cette exposition insolite, sans œuvre ni artiste, pilotée par Johnathan Loppin, directeur du SHED, interroge les conventions distinguant original et copie, moule et tirage, objet et œuvre. Elle est installée dans deux endroits : à l’usine Gresland, à Notre-Dame-de-Bondeville, et à la Maison Pélissier, à Maromme.
« Tout est parti de la fonderie Senard qui, après 130 années d’activité à Maromme, a laissé, derrière elle, un important stock de pièces en bois : des prototypes et des moules que les artistes du SHED ont entrepris de sauvegarder puis d’exposer. Nous souhaitons hisser ce stock au rang de collection. Ces objets sont en bois, soigneusement finis. Ils ont une raison d’être, un sens, une fonction », explique Johnathan Loppin. Grâce au don du propriétaire du site, à l’appui logistique de la Ville de Maromme et à l’aide apportée par des bénévoles, le SHED a entrepris, depuis février 2019, la récupération de ces objets, leur inventaire et leur nettoyage. Objectif : conserver ces témoins d’une industrie passée.
Matrice, exposition jusqu’au 21 juillet, du vendredi au dimanche, de 14 h à 19 h et sur rendez-vous. Entrée libre.
Maison Pélissier, 96 rue des Martyrs de la Résistance, à Maromme.
SHED, ancien atelier de l’usine Gresland, 12 rue de l’Abbaye, à Notre-Dame-de-Bondeville. Contact : 06 51 65 41 76.
29/05/2019 : Sucre de Rouen : de la douceur en barre
Le sucre de Rouen, c’est une petite machine à remonter le temps. Retour à une époque où les confiseries étaient emballées dans du papier doré et où chaque bonbon se dégustait longuement du bout de la langue... Ce goût d’antan, l’association Le Pré de la bataille le perpétue, jour après jour.
«La recette a été mise au point par un apothicaire rouennais au XVIe siècle. C’était alors un médicament utilisé pour soigner les maux de gorge, de ventre et la mélancolie, raconte Benjamin Duhamel, guide de la confiserie implantée à Notre-Dame-de-Bondeville. Au XVIIIe siècle, c’est devenu un bonbon, très prisé des enfants. Il tient sa forme de bâtonnet des cartouches de fusil du prince impérial. » Au XXe siècle, deux entreprises produisaient ces sucreries dans l’agglo au rythme de 30 tonnes par an : Bras Foucard et Barnier. Après la fermeture de la première, Le Pré de la bataille récupère les machines et le savoir-faire. « Le sucre de Rouen, c’est un mélange de sirop de glucose, d’eau et d’arômes de pomme et de citron », résume Benjamin Duhamel.Les arômes sont chauffés à 135°C, puis, une fois qu’on a obtenu la pâte, on la laisse redescendre à 60°C pour pouvoir la travailler. Après des passages successifs dans diverses machines, les cylindres sont roulés et découpés, à la main ; des bâtonnets de 18 g à 125 g selon la commande du moment. La production - environ 50 kg par jour - mobilise une vingtaine de travailleurs handicapés. Le sucre de Rouen a aussi le goût de la solidarité !
Les Confiseurs : 12 rue de l’abbaye à Notre-Dame-de-Bondeville. Ouvert du lundi au vendredi de 10 h à 12 h 45 et de 14 h à 17 h.
EN RAYON. Le sucre de Rouen se décline en goût pomme ou cerise, mais ce n’est pas la seule gourmandise produite par l’association du Pré de la bataille. Pâtes de fruits de toutes les couleurs, tablettes de chocolat et mendiants aux fruits secs régalent tous les becs sucrés ! Notre coup de cœur : les oursons à la guimauve. Leur coque en chocolat est plus épaisse et plus craquante que celles des bonbons ramollos vendus en supermarché... Un régal !
VISITE. L’association Le Pré de la bataille a déménagé son atelier de confiserie du centre-ville de Rouen à Notre-Dame-de-Bondeville l’automne dernier. L’équipe occupe désormais l’ancienne usine de tissage Gresland, reconnaissable à sa haute cheminée en briques rouges. L’atelier se visite toute la semaine. Un tour guidé qui permet d’en apprendre plus sur le sucre de Rouen, spécialité locale par excellence, et sur le passé industriel du site. La confiserie comprend aussi une boutique, ouverte au public. En rayon, les chocolats et sucreries produits par Le Pré de la bataille mais aussi des jus de pommes et confitures d’autres établissements.
18/05/2019: les bons résultats du concours national d’harmonies
L’union départementale des sociétés musicales de Seine-Maritime, présidée par Pascal Piedefer, a organisé dimanche 12 mai son premier concours national d’orchestres d’harmonie qui s’est tenu en simultané à Notre-Dame-de-Bondeville, Le Houlme et Montville, chaque commune recevant un ou deux orchestres.
« Ce concours organisé sous forme de festival a vocation à se tenir tous les deux ans. Il permet de faire connaître des orchestres venus d’ailleurs, de partager des moments musicaux, si possible en plein air, et d’animer les villes avec des orchestres de grande qualité, explique Pascal Piedefer. Il permet également de répondre à une demande des orchestres de varier les objectifs de travail en sortant des traditionnels concerts. » Après la compétition et une aubade dans les communes d’accueil, le parc municipal du Houlme a accueilli tous les musiciens pour un morceau commun avant la proclamation des résultats par Olivier Calmel, président du jury.
Parmi les orchestres présents, en 2e division, l’harmonie batterie de Bergues reçoit le 1er prix avec mention très bien, tout comme l’orchestre d’harmonie La Renaissance de Doudeville ; en 1re division, l’orchestre d’harmonie de Dieppe reçoit le 2e prix et l’orchestre d’harmonie de Gonneville-La-Mallet, le 1er prix avec mention bien ; en honneur, l’orchestre d’harmonie de Forges-les-Eaux reçoit le 2e prix.
16/05/2019 : Alcoolisé, le motard sans permis percute une voiture à Notre-Dame-de-Bondeville
Un motard a percuté une voiture à un carrefour mercredi soir à Notre-Dame-de-Bondeville. Il a été légèrement blessé. Il était ivre et roulait sans permis.
Vers 20 heures, un automobiliste arrivant de la rue Jules Ferry s’arrête au carrefour avec la route de Dieppe. Il ralentit, n’aperçoit personne et s’engage.
La moto arrive à grande vitesse
Arrive une moto à grande vitesse, qui percute la Renault Laguna. Le pilote et son deux roues, une Honda Hornet 600, vont percuter une autre voiture en stationnement.
Légèrement blessé, se plaignant de douleurs aux coudes et aux genoux, le motard a été pris en charge par les sapeurs-pompiers.
La moto achetée le jour même
Dépisté à l’hôpital, cet homme de 35 ans originaire de Mesnil-Raoul était positif à l’alcool.
Il a expliqué qu’il avait acheté la moto le jour même, qu’elle n’était pas assurée et que lui ne possédait pas le permis.
07/05/2019 : Un concours national d’orchestres d’harmonie dimanche 12 mai 2109 dans la vallée du Cailly
Pour la première fois depuis sa création, l’union départementale des sociétés musicales de Seine-Maritime présidée par Pascal Piedefer organise dans la vallée du Cailly, un concours national d’orchestres d’harmonie. Ce concours estampillé « vallée du Cailly » se déroulera dans les communes de Notre-Dame-de-Bondeville, Le Houlme et Montville, avec le soutien de la CMF (Confédération musicale de France) présidée par Christophe Morizot, dimanche 12 mai.
Les rendez-vous
Chaque commune recevra entre un et deux orchestres répartis sur trois divisions. Deux orchestres en deuxième division se produiront au foyer communal du Houlme : à 9 h, l’harmonie batterie de Bergues (Nord) et à 10 h, l’orchestre d’harmonie La Renaissance de Doudeville.
Deux orchestres en première division seront présents à l’espace Jean-Loup Chrétien de Montville : à 9 h, l’orchestre d’harmonie de Dieppe et à 10 h, l’orchestre d’harmonie de Gonneville-la-Mallet. Un orchestre en honneur rejoindra l’orchestre d’harmonie de Forges-les-Eaux à la salle André Gide de à Notre-Dame-de-Bondeville, à 11 h 30.
Après la compétition qui se déroulera dans la matinée, les orchestres sont invités à donner une aubade, dès 15 h dans le parc de la commune qui les reçoit. Ils se retrouveront à se retrouver tous ensemble au parc municipal du Houlme pour un morceau commun avant la proclamation des résultats vers 17 h 30 par Olivier Calmel, président du jury.
La manifestation s’achèvera par le verre de l’amitié offert pas la commune du Houlme.
Entrée libre et gratuite. Pour tous renseignements, contacter le 06 08 43 44 36.
29/04/2019 : la Ville se dote d’un nouveau véhicule électrique
La Ville de Notre-Dame-de-Bondeville vient de faire l’acquisition d’un véhicule électrique pour compléter sa flotte. « Ce véhicule est un Kangoo Express ZE équipé d’une benne à déchets basculante, avec une charge d’environ 500 kg, explique Jacky Doucet, agent des services techniques. Il a une autonomie d’eviron 200 km. Il est réservé à l’entretien de la voirie (balayage, vidage des sacs poubelle, ramassage des papiers) et le nettoyage des cours d’écoles tous les mercredis. »
L’âge du métal
Le coût du véhicule entièrement équipé est de 31 000 € TTC.
26/04/2019 : Tournoi de badminton entre agents municipaux
Afin de partager un moment convivial et d’entretenir la cohésion d’équipe entre les différents services de la mairie, le CCAS (centre communal d’action sociale) a organisé récemment un tournoi de badminton réservé aux agents. Pour cette première édition, vingt personnes, constituées en binômes, se sont affrontées dans la bonne humeur sous la direction de Peter Lafosse, responsable loisirs et sport du pôle enfance, jeunesse, éducation et sports, et des agents des services techniques. L’équipe de la cuisine centrale, représentée par Sandrine Lecointre et Jean Le Pley, a remporté ce premier tournoi et reçu une coupe des mains de Baptiste Desvaux, directeur des ressources humaines.
24/04/2019 : Les enfants de Notre-Dame-de-Bondeville chassent les œufs en forêt
L’Association lire, échanges et découvertes, présidée par David Perrault, a organisé dimanche 21 avril, pour la 2e année consécutive, une chasse aux œufs aux abords de la forêt d’Houppeville-Sylveison. Une trentaine d’enfants a participé à cette animation et collecté de nombreux chocolats sous le regard des bénévoles de l’association et Myriam Mulot, adjointe. L’association organise une foire à tout samedi 18 mai de 8 h à 18 h sur le parking du city stade, rue de la Paix. Inscriptions dès maintenant au 07 82 15 45 63 ou aled.76960@gmail.com
23/04/2019 Le 30e salon de peinture et sculpture ouvre samedi 27 avril à Notre-Dame-de-Bondeville
La municipalité organise du samedi 27 avril au dimanche 5 mai son 30e salon de peinture et de sculpture avec Jean-François Glabik pour invité d’honneur. Il se définit comme artiste, bustier, ciseleur, épanneleur, graveur, imagier, modeleur, ornemaniste, statuaire, tailleur de pierres, confraternité dont il se revendique. « Autodidacte d’origine polonaise, j’ai été façonné en Normandie près d’une des plus belles structures qui puisse exister, le Mont Saint-Michel. Depuis toujours, je sculpte comme je respire. »
L’âge du métal
« Mon maître d’école, autrefois, m’a appris que l’homme était devenu intelligent à l’âge de fer ! Eh bien moi, il m’a permis de devenir sculpteur dès que j’ai apprivoisé le métal, je me suis mis à conjuguer les verbes déformer, tordre, distordre, tire-bouchonner, torsader, tortiller... Et le mystère de la création a fini par figer à jamais ces créatures nématoïdes. Tel un Dogon giacométique, j’erre dans le labyrinthe de la nature humaine trafiquant les formes et œuvrant les vides. Ludiques ou oniriques, détestés ou adulés, ceux-ci ne vous laisseront pas insensibles : n’hésitez pas ! Invitez-vous dans ce pays imaginaire où le sol pavé de noir reflète les couleurs de la vie. »
Vingt et un autres artistes, eux-mêmes anciens invités d’honneur des salons bondevillais, seront présents : Christophe Bruno Avril, Frédérique Baray, Yves Bouffigny, Pierre Cuisy, Jean-Pierre Dassonneville, Hakim Elmam, Annie-Claude Ferrando, Gérard Gantois, Christine Goldspiedgel, Martine Giloppé, Eliane Grouard, Daniel Guilbert, Philippe Hélie, Yvette Hénaut-Alix, Nicolle Hussonnois, Braïma Injai, André Le Noir, Marie-Claude Marical, Kim Chi Nguyen, Ragib Paul et Annie Puybareau.
Exposition ouverte du 27 avril au 5 mai, en semaine de 14 h à 17 h et le dimanche de 15 h à 18 h à l’espace Jules-Ferry. Accès gratuit.
22/04/2019 : Les élus de Notre-Dame-de-Bondeville se mobilisent contre la fermeture du bureau de poste l’après-midi
La direction de la Poste envisage à nouveau de fermer son bureau de Notre-Dame-de-Bondeville, tous les après-midi à compter du 1er juin. La municipalité a décidé de se mobiliser, comme en 2014 où une tentative de réduction du personnel dans ce bureau avait échoué grâce à la mobilisation des usagers et des élus.
À l’initiative de Myriam Mulot, première adjointe, les élus de la majorité ont décidé de sensibiliser les usagers et de faire signer une pétition contre les projets de la Poste. Ils se sont installés devant le bureau de Poste jeudi 18 avril. « Outre les facteurs et les guichetiers qui subissent une réorganisation structurelle de leurs services, explique Myriam Mulot, ce sont aussi les habitants, les usagers de la Poste qui en seront victimes. Beaucoup de nos administrés ont un compte bancaire à la Poste : des personnes âgées et des personnes qui ont des problèmes de mobilité, des gens qui dépendent des transports en commun et qui devront sacrifier du temps et de l’argent pour aller dans une commune voisine qui, elle, aura eu la chance de conserver son bureau et ses horaires d’ouverture. »
Une fois de plus, estiment les élus, alors qu’elle reconnaît implicitement une fréquentation plus forte dans cette plage horaire, la direction de la Poste a décidé de désorganiser sa mission de service public avec des fermetures de bureaux prévues. La Poste négocie déjà avec des commerçants pour transférer ce service public vers le privé, par exemple.
La mission de service public oubliée
« Dans notre secteur, poursuit Myriam Mulot, nous serions un observatoire qui pourrait donc s’étendre aux autres secteurs si cette tendance pouvait passer presque inaperçue. Or, la Poste a bel et bien une mission de service public. Elle a donc l’obligation de maintenir une qualité de service et d’offrir aux usagers la possibilité d’accéder le plus facilement à l’ensemble de ses services. »
« À terme, conclut le directeur de cabinet du maire, Romain de Tassigny, toutes les communes auront à déplorer une diminution des horaires d’ouverture quand ça ne sera pas un bureau de poste qui fermera. Nous savons ce qui se passe quand les services publics se retirent. La présence d’une poste, d’une école dans une commune participe au cadre de vie. Sans de tels atouts, les boutiques ferment peu à peu et les communes deviennent inexorablement des cités-dortoirs. Il faudrait lancer un appel à la solidarité à tous les élus de la Métropole pour imposer à la Poste le respect du contrat de service public qu’elle a avec l’État. »
18/04/2019 : Ouverture d’un snack par un enfant du pays
Une nouvelle enseigne, Point chaud, a ouvert ses portes lundi 8 avril, au cœur de la commune, non loin de l’hôtel de ville. Un retour aux sources dans la ville de son enfance pour Ryad Badji, son créateur. « Je suis originaire de Notre-Dame-de-Bondeville, explique-t-il, et j’y ai vécu jusqu’à l’âge de 25 ans. Je connais bon nombre de personnes et beaucoup de Bondevillais me connaissent. Petit souvenir : pendant mon enfance, j’aimais aider les personnes âgées à transporter leurs courses. »
Après une formation en boulangerie-pâtisserie, il décide de devenir docker. « J’ai adoré ce métier. J’ai travaillé sur le port de Rouen de 2003 à 2018 où j’ai appris les valeurs de solidarité et d’entraide, avec mes collègues. »
Hélas, pour des raisons de santé, Ryad a dû renoncer à son emploi. C’est tout naturellement vers ses premières amours - sa ville natale et sa formation initiale - qu’il décide de se tourner pour poursuivre sa carrière professionnelle.
Dans ce point de vente, il propose pains, viennoiseries et pâtisseries qui lui sont fournis par un artisan boulanger-pâtissier de Rouen. « Sur place, je réalise des sandwichs, croque-monsieur, paninis et prochainement des petites pizzas », complète-t-il. Il vend également des boissons chaudes (thé, café, chocolat), boissons fraîches, sodas, jus de pommes et d’oranges.
Lors de son installation, le commerçant a été chaleureusement accueilli par le maire Jean-Yves Merle et sa première adjointe, Myriam Mulot, qui lui ont souhaité de longues années de prospérité.
Point chaud : 101, route de Dieppe. Ouvert du lundi au samedi, de 7 h 30 à 19 h 30, et le dimanche de 7 h 30 à 13 h 30.
Fermé le mercredi.
Contact : 09 52 87 77 34.
13/04/2019 : La majorité fait bloc autour du maire Jean-Yves Merle
Deux conseils municipaux en une semaine, en période de vacances scolaires : un épisode dont Jean-Yves Merle se serait bien passé, mais qu’il tente de relativiser. À la tête de la commune depuis trente ans, sa dernière mandature il la souhaitait plus sereine pour préparer sa succession.
« Il faut qu’on avance avec le soutien de ceux qui sont présents », indique le maire hier matin, en faisant l’appel. Douze élus de sa majorité, dont une maman venue avec son bébé de dix-huit jours, ont fait le déplacement, quelques-uns ont donné un pouvoir. L’opposition, elle, est absente. Deux délibérations sont à l’ordre du jour. Le compte de gestion et le compte administratif 2018 présentés par Myriam Mulot, première adjointe en charge des finances, sont adoptés à l’unanimité.
Au moment de clore la séance qui n’aura duré que vingt minutes, Annie Haillant, conseillère municipale, souligne sa « fierté d’appartenir à une municipalité qui affiche des comptes avec des recettes plus importantes que les dépenses. » Elle y voit « un gage de réussite pour l’an prochain ». Tout le monde se serait bien passé de ce conseil matinal convoqué trois jours après une soirée où les coups de théâtre se sont enchaînés. »
Pas de hausse des taxes
En effet, lundi, l’opposition avait failli faire capoter le vote du budget 2019 en pariant sur le fait que le quorum ne serait pas atteint (PN de jeudi 11 avril).
La majorité s’était alors démenée, le temps d’une suspension de séance, pour battre le rappel et atteindre les 15 élus requis. Ce vote était impérativement à transmettre en préfecture pour le 15 avril... Myriam Mulot avait finalement pu faire adopter les grandes lignes d’un budget 2019 s’élevant à 10,7 M€ (8,2 M€ en fonctionnement et 2,5 M€ en investissement). Le tout sans hausse des taxes communales, ni emprunt, avec un endettement au 1er janvier 2019 de 2,2 M€ (en diminution de près de 300 000 €).
« Pourtant des représentants des deux groupes d’opposition étaient présents lors de la commission des finances du 20 mars préparant ce budget. Et ils étaient d’accord, ont posé des questions, ce qui est normal. Mais nous ne nous attendions pas à cette volte-face », souligne Myriam Mulot qui garde le cap et la tête froide.
« Notre mission, c’est d’être au service des Bondevillais », insiste la première adjointe. Elle rappelle les choix : une baisse des charges de personnel (4,7 M€ en 2018 contre 4,4 M€ en 2019) « sans créer de précarité pour les 134 agents »..
Orchestre à l’école
Une large place est consacrée aux études notamment pour l’aménagement de la friche Leboucher où un ambitieux projet de cité scolaire réunira cuisine centrale, salle des fêtes, école de musique. « Il favorisera la mixité et davantage d’échanges et permettra d’en finir avec l’enclavement. Nous mettrons en place un transport pour les enfants », complète l’élue.
Le conseil a entériné la création dès septembre 2019 d’un orchestre à l’école Jean-Moulin, en partenariat avec l’inspection académique et avec l’espoir du soutien du Département.
Enfin, la première adjointe assume sans rougir la hausse des fêtes et cérémonies : « C’est l’année de l’Armada et nous voulons offrir cette sortie aux seniors mais aussi aux agents de la ville. »
12/04/2019 : Soirée cabaret en hommage à Sidney Bechet vendredi 19 avril 2019
En hommage à Sidney Bechet et au 62e anniversaire de sa disparition, l’association Cailly jazz propose une soirée cabaret, vendredi 19 avril à 20 h 30, à la salle André-Gide, avec Philippe Ecrepont et les Feeling Stompers.
Né à la Nouvelle-Orléans le 14 mai 1897, décédé à Garches en région parisienne le jour de son 62e anniversaire (le 14 mai 1959), Sidney Bechet est, en quelque sorte, le plus français des musiciens américains créateurs du jazz. Outre le fait qu’il était francophone, né en Louisiane, il avait des ancêtres français, une grande partie de sa carrière s’est déroulée en France.
Marié à une Française, il avait choisi de s’installer dans notre pays où il était devenu extrêmement populaire, non seulement auprès des amateurs de jazz mais aussi du grand public grâce à des compositions comme Petite Fleur ou Les Oignons. L’association a pensé que : « Étant donné l’importance exceptionnelle de ce musicien pour le jazz en France, il fallait lui rendre hommage, souligne Jean Déniel, président de Cailly Jazz. Et pour cela, il fallait un spécialiste du saxophone soprano, capable de jouer dans l’esprit. Nous avons fait appel à Philippe Ecrepont, l’un des rares musiciens français à avoir assimilé le langage Bechet. »
De même que Bechet était accompagné par les Lorientais de Claude Luter, Philippe Ecrepont sera accompagné par les Feeling Stompers, vitrine musicale de l’association.
Soirée cabaret, vendredi 19 avril à 20 h 30, à la salle André-Gide.
Réservations : 06 88 75 83 35 ou asso.cailly.jazz@gmail.com
11/04/2019 : Le budget voté en petit comité et en l’absence de l’opposition
Séance mouvementée, lundi 8 avril, au conseil municipal qui devait notamment adopter le budget primitif 2019. S’apercevant que le quorum (15 élus sur les 28) ne serait pas atteint, l’opposition a quitté la salle.
Un coup d’éclat mené par deux groupes : celui de Joël Bénard (cinq élus de la liste « Unis pour Bondeville ») et celui de Christophe Aubert (trois élus de la liste « Un nouveau souffle »). Un pas de plus dans une crise qui secoue depuis plusieurs mois la municipalité conduite par Jean-Yves Merle depuis trente ans.
Les absents appelés en urgence
Seulement, la politique de la chaise vide n’a pas eu l’effet escompté. Car le budget 2019 a finalement été adopté ce lundi-là. Comment ? Sans doute grâce à quelques appels d’urgence auprès d’absents de la majorité qui ont finalement fait leur apparition.
Le directeur de cabinet du maire précise : « Au départ, douze élus de la majorité étaient présents mais un quart d’heure après la sortie spectaculaire de l’opposition, trois élus sont arrivés dont la nouvelle conseillère, Christel Delamare, qui remplace Mme Déniel. Et le budget a été adopté en toute sérénité ».
Un nouveau conseil municipal a été convoqué vendredi 12 avril, à 10 h 30, mais ne concernera que le vote du compte administratif 2018, où le maire n’a pas à être présent, et le quorum ne sera pas nécessaire. L’opposition a annoncé qu’elle ne serait pas présente.
En 2018, le budget avait été adopté dans la douleur (20 pour et 8 contre) avec notamment la démission du premier adjoint remplacé depuis par Myriam Mulot.
05/04/2019 : Disparition de Marica Déniel, adjoint au maire de Notre-Dame de Bondeville
Née le 6 septembre 1954 à Jabuka en Serbie, où ses parents macédoniens émigrèrent une première fois, Marica Déniel, adjointe au maire, a tiré sa révérence mardi 2 avril.
C’est pour fuir les difficultés économiques de l’ex-Yougoslavie que son père avait émigré une seconde fois, en France, et y avait fait venir ensuite sa famille, le 13 août 1966.
Marica Simonowska arrive donc en France à l’âge de 12 ans, dans un pays dont elle ne maîtrise ni la langue, ni la culture. Elle doit, avec toutes les difficultés que l’on peut aisément imaginer, s’intégrer et reprendre une scolarité malgré la barrière de la langue. À 16 ans, elle travaille dans une filature, chez Mazurel. Un premier mariage lui donne trois enfants, Cyril, Yann et Laetitia, qu’elle élève seule. Parallèlement, elle suit une formation pour devenir assistante puéricultrice puis est embauchée dans une association, L’Œuvre normande des mères. C’est à cette époque qu’elle rencontre l’homme de sa vie, Jean Déniel, qu’elle épouse le 2 décembre 1989 à Notre-Dame-de-Bondeville devant un maire fraîchement élu, Jean-Yves Merle. Initiée à la politique par son mari, tous deux seront marqués par ce maire qui devient un ami proche et ils s’engagent au PS.
Derrière Jean-Yves Merle, ils participent à plusieurs campagnes municipales. En 2003, Marica Déniel doit cependant mener un autre combat puisqu’elle est touchée une première fois par un cancer du sein.
C’est cette fougue et cette détermination qui feront d’elle l’une des plus efficaces et ferventes supportrices de Jean-Yves Merle. Il l’intègre dans son équipe municipale en mars 2008. En mars 2014, le maire la nomme adjointe chargée de la jeunesse.
Passionnée par le jardinage, les animaux, la musique et la chanson, elle s’est éteinte le 2 avril dans sa 65e année. Sa proximité, son amabilité et son humilité lui valurent d’être très appréciée des Bondevillaises et des Bondevillais.
04/04/2019 : Les agents municipaux formés à l’apiculture
Jeudi 28 mars, une formation apicole, destinée aux agents techniques de plusieurs communes de la Métropole, s’est déroulée à la mairie. Elle a été dispensée par Romain Cauchois et Louis Lair de la société Allo la guêpe, dont le siège est à Rouen.
Au programme de la journée : comment s’occuper d’une ruche, les différentes sortes d’abeilles, les précautions à prendre, les prédateurs des abeilles..., sans oublier la récolte du miel. Au terme de la formation, Romain Cauchois et Louis Lair ont remis des ruches aux agents.
Deux ruches au cœur de la commune
« La commune est en relation avec Allo la guêpe dans le cadre de la signature d’un contrat de destruction de nids de frelons dans la ville, explique Romain de Tassigny, chef de cabinet du maire. La société propose aujourd’hui, gratuitement, une formation et s’engage à être présente auprès de nos agents municipaux en cas de problème et pour tous renseignements complémentaires. Nous allons pouvoir installer les deux ruches offertes par la société au cœur de la commune et récolter du miel bondevillais. »
Romain Cauchois et Louis Lair sont tous deux apiculteurs et anciens pompiers de Paris, donc formés à intervenir en hauteur. « Notre mission au quotidien est la protection de la biodiversité et la lutte contre la disparition des abeilles due à la prolifération du frelon asiatique. Nous veillons à la protection des insectes hyménoptères pollinisateurs comme le bourdon et participons activement au repeuplement des abeilles afin de conserver, promouvoir et valoriser la production de miel des abeilles de Haute-Normandie. »
Régulièrement la société organise, en collaboration avec les services techniques des communes, des journées d’information sur la prolifération et la lutte contre le frelon asiatique et des journées de formation à l’apiculture. « Notre entreprise s’inscrit dans une démarche durable de protection des abeilles et à son développement, et notre service apicole récupère, réinstalle et protège les essaims d’abeilles à titre gratuit »,précisent-ils.
Contact : Allo la guêpe au 06 72 42 17 00
02/04/2019 : Terre de Rouvres s’agrandit pour mieux accueillir les personnes souffrant d’autisme
L’inauguration de l’extension de la maison d’accueil spécialisée du complexe Terre de Rouvres a eu lieu mercredi 27 mars, associée à un anniversaire, les trente années d’existence sur le territoire normand de l’association Sésame autisme Normandie.
L’extension a permis la création d’un pôle activités avec salle d’autonomie, salle d’apprentissage, salle de vie quotidienne, salle de psychomotricité, salle loisirs. Un pôle sensoriel a également été créé avec salle de relaxation active et passive, salle de pressothérapie, salle de balnéothérapie, salle de gym, salle de psychomotricité, salle d’art-thérapie. Une salle d’évaluation, une salle dédiée aux séances de coiffure, un accueil familles viennent s’ajouter aux nouveautés.
Trente ans de combats
« Les représentants de Sésame autisme servent une noble cause et peuvent être fiers du chemin accompli après ces trente années d’existence, a souligné le maire Jean-Yves Merle. Trente années à se battre pour faire reconnaître les droits de leurs enfants pour qu’ils puissent vivre dignement, à se battre pour que les structures d’accueil soient les plus adaptées possible, ceci afin de leur préparer un avenir plus serein. »
« Aussi, lorsque Dominique Barnet, directeur du complexe, et Francis Legras, de Sésame autisme Normandie, sont venus un jour me voir pour m’exposer ce projet d’agrandissement, j’étais déjà convaincu et j’avais d’ores et déjà pris l’engagement de répondre positivement à leur demande,continue Jean-Yves Merle. Notre commune n’est pas riche mais il existe d’autres moyens que l’argent pour aider et soutenir des projets d’intérêts publics évidents. Vous avez fait le choix de vous étendre à Notre-Dame-de-Bondeville et je tiens à vous en remercier. C’est pour moi, un honneur et une confiance que vous nous adressez. Je tiens aussi à saluer tous les acteurs qui ont participé à ce projet. »
Francis Legras, président de Sésame autisme Normandie, a retracé le chemin parcouru en trente ans, « depuis que Sophie Flament, valeureuse maman, révoltée par le sort réservé aux enfants et adultes souffrant d’un handicap qu’on appelait autisme, décida de créer une association ». Il a également souligné les progrès dans la compréhension de ce handicap et, aujourd’hui, la création des unités d’enseignement en maternelle « autisme » et le maître mot, maintenant, d’inclusion.
Aujourd’hui l’association gère neuf établissements ou services, dont un en partenariat avec l’Association médico-éducative rouennaise, pour éduquer et accompagner plus de 180 personnes avec troubles du spectre de l’autisme.
La cérémonie d’inauguration, conduite par Francis Legras et Jean-Yves Merle, s’est déroulée en présence de Christine Gardel, directrice de l’agence régionale de santé, Christophe Bouillon, député, Pascal Martin, président du conseil départemental, Christine Meignein, présidente de la fédération française Sésame autisme. Ils étaient entourés de nombreux parents et bénévoles engagés pour la cause de l’autisme.
28/03/2019 : Justhom est venu présenter « De l’esclavage au colonialisme »
C’est au bar La Civette bondevillaise que Justhom a présenté son dernier ouvrage De l’esclavage et du colonialisme. Il s’est plié à une séance de dédicaces dans ce lieu qu’il apprécie pour les nombreuses rencontres qu’il y fait et les amitiés qui s’y créent.
Pour la petite histoire, Justhom, son nom d’emprunt, nom de jeune fille de sa mère, est un bourlingueur. De 1960 à 1973, il a navigué dans la marine marchande à bord de pétroliers et sur toutes les mers. Il a constaté par ses rencontres avec les habitants de bien des pays, que sous les différents régimes politiques, socialistes, communistes, de droite ou fascistes, le sort des peuples n’était guère enviable. L’exploitation, la privation des libertés et souvent la misère étaient leur quotidien.
Dénonciation de l’esclavage moderne
C’est ainsi que naturellement, il est devenu un révolté et a rejoint le rang des anarchistes qui, pour lui, avaient un idéal de société au sein de laquelle les peuples seraient seuls décisionnaires et acteurs de leur vie.
« L’idée de ce nouvel ouvrage m’est venue lors d’un discours de Nicolas Sarkozy à l’université de Dakar, sur la colonisation, en juillet 2007, où il a dit, “ la France n’a pas commis de génocide. Nous avons apporté la civilisation universelle. L’homme africain n’est pas assez rentré dans l’Histoire... Il est trop présent dans la nostalgie du paradis perdu [...]L’Afrique a sa part de responsabilité, la colonisation n’est pas responsable des difficultés de l’Afrique ”. »
Dans ce livre, l’auteur retrace l’histoire de l’esclavage et de la colonisation à travers le monde et dénonce la vision capitaliste et impérialiste de ces pratiques. Auteur engagé, Justhom fait le parallèle entre capitalisme, monarchie et dictature, synonymes de violences, guerres et morts.
L’ouvrage historique et philosophique dénonce l’esclavage moderne toujours existant et le pillage culturel et économique des anciennes colonies.
« De l’esclavage et du colonialisme », éditions Libertaires, 252 pages, 15 €.
19/03/2019 :Exposition sur le loup à la médiathèque des Grandes-Ventes
La médiathèque Nacisse-Dupré propose au public une exposition du samedi 23 mars au samedi 27 avril, sur le thème du loup. Elle sera composée de dix panneaux prêtés par la médiathèque départementale de Notre-Dame-de-Bondeville, qui présenteront l’animal, ses caractéristiques biologiques, son comportement et sa vie.
Jeu-concours
Plusieurs thèmes seront mis en valeur : la trop mauvaise réputation du loup, ses sens aiguisés, la meute et l’éducation, sa préférence pour les proies sauvages, sa façon de communiquer...Un jeu-concours sera organisé pendant la durée de l’exposition à l’attention des écoliers de l’Hêtre aux savoirs de la maternelle au CM2, mais aussi pour les jeunes de l’extérieur. « Il s’agira d’un questionnaire, annonce Alicia Leclerc qui gère la structure. Les réponses aux questions sont à trouver sur les panneaux. Les cinq meilleures réponses seront récompensées par la municipalité. »L’exposition est visible pendant les heures d’ouverture de la médiathèque.
INFOS PRATIQUES
Exposition à la médiathèque du samedi 23 mars au samedi 27 avril le mardi de 16 h à 17 h 30, le mercredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30, le vendredi de 15 h à 17 h 30, et le samedi de 10 h à 12 h.
12/03/2019 : Le conseil municipal d’enfants et de jeunes installé
La salle du conseil municipal a accueilli, jeudi 7 mars, la séance plénière d’installation des jeunes élus au conseil municipal d’enfants et de jeunes (CMEJ). Une séance exceptionnelle où chaque enfant s’est présenté avant de signer une charte en deux exemplaires, en présence des adjointes Myriam Mulot, Michèle Guérout et Martine Guézouli. Les parents ont également assisté, non sans émotion à cette séance.
Chaque élu a ensuite cité les deux commissions qu’il a rejointes sur les trois proposées : commission bien-être et cadre de vie, commission solidarité et citoyenneté et commission sports, loisirs et animations.
Les élections du CMEJ se sont déroulées jeudi 7 février à la mairie avec la participation des 188 élèves des huit classes de cycle III (CE2, CM1 et CM2) des trois écoles élémentaires de la ville. Quatre élèves ont été élus à l’école Jean-Moulin, cinq à l’école Victor-Hugo et cinq à l’école André-Marie. Ces quatorze élèves élus en élémentaire ont été rejoints par quatre collégiens élus également.
En fonction jusqu’en février 2022
Au cours de la cérémonie, les dix-huit ont reçu le livret du jeune élu avec un stylo de la Ville, ainsi que l’écharpe tricolore de l’élu. Les jeunes sont en fonction jusqu’en février 2022. Un échéancier des futures dates de réunions leur a été donné où ils parleront de projets futurs à mettre en place avec Nicolas Hue et Daouda Sy, animateurs du CMEJ sous la responsabilité Christine Le Port, responsable, et Peter Lafosse, adjoint du Pôle éducation, jeunesse, enfance et sport.
Source : Paris Normandie
09/03/2019 : Un après-midi animé pour les seniors de la commune
Myriam Mulot, première adjointe au maire, et les élus de la commission Fêtes et cérémonies de Notre-Dame-de-Bondeville ont accueilli, mercredi 6 mars salle André-Gide, les seniors bondevillais de plus de 65 ans pour un après-midi très animé. Entre goûter et musique, c’est dans une ambiance festive et conviviale que plus de 150 convives, aînés et élus, ont profité de ce moment de détente au son de l’orchestre Ballandonne Live.
La commune ne comptant pas de club d’aînés, c’est la commission Fêtes et cérémonies qui leur propose quelques rendez-vous durant l’année.
Le prochain est prévu mercredi 3 avril avec un après-midi spectacle animé par Les Vrais branchés du spectacle ; le voyage annuel est programmé les jeudi 6 et samedi 8 juin avec un déjeuner à quai puis balade sur la Seine à l’occasion de l’Armada ; le 6 octobre, ce sera le repas d’automne et en décembre, la distribution de bons d’achat aux aînés.
08/03/2019 : La bibliothèque de Notre-Dame de Bondeville se met vraiment au vert !
L’équipe de la bibliothèque Mathilde-de-Rouvres a ouvert la grainothèque, animée par Suzanne. Le principe est de participer à un atelier, du semis à la récolte avec les graines de la grainothèque. Forte de ses nombreux ateliers proposés tout au long de l’année à destination des lecteurs mais également des visiteurs, l’équipe de la bibliothèque a décidé, il y a un an de réaliser un petit coin grainothèque. Cette banque de graines a été réalisée dans un carton décoré par Laure, une fidèle de la bibliothèque.
L’objectif de cette installation : prendre ou/et déposer des graines, un emprunt ou un échange gratuit de semences de toutes sortes. Les graines sont stockées ou à déposer dans des petits sachets classés par ordre alphabétique.
Créer un potager
Devant le succès de ces échanges, Suzanne a décidé de franchir le pas avant le printemps, et propose dorénavant un atelier. Le premier rendez-vous était fixé samedi 2 mars et trois personnes ont répondu à l’invitation, Laure, Céline et Richard. « Mon souhait, explique Suzanne, est de réaliser un potager à partir de plantes simples à cultiver. Nous disposons d’un espace dans la cour de la bibliothèque. Nous allons sélectionner quelques semis comme les cucurbitacées, citrouilles, potimarrons ou courgettes pour cette première expérience. Lors de notre prochaine séance, nous mettrons les graines en pot. En avril, nous effectuerons les plantations. »
Suzanne a mis à profit ce rendez-vous pour présenter des ouvrages afin de faciliter la culture des graines et annoncer le programme.
« Je me chargerai, durant l’année d’arroser ces plantations, poursuit Suzanne en direction des participants. Ce sera un véritable bonheur de voir nos premières récoltes et les partager. »
Le prochain rendez-vous est fixé au samedi 16 mars de 10 h 30 à 12 h. L’atelier est limité à six personnes. Pour tous renseignements, contacter le 02 32 82 51 60.
27/02/2019 : La résidence autonomie du Parc accueille des ateliers cuisine
À l’initiative du CCAS de la commune, le cuisinier Fabrice Gabriel, créateur de l’entreprise ELC Services, intervient ponctuellement depuis quelques semaines auprès des ainés de la résidence autonomie du Parc.
Lors de sa dernière animation culinaire, mardi 19 février, le professionnel a proposé aux résidents la confection d’une soupe, d’une tourte aux poireaux et lardons, et de mini-tartes aux pommes.
« Ces ateliers sont propices à l’évocation de souvenirs, aux échanges et aux conseils autour de la cuisine », remarque Arnaud Mouillard, animateur à la résidence.
Durant cette rencontre, les cuistots en herbe ont eu le plaisir de goûter et d’emporter avec eux les délicieux mets préparés avec entrain dans l’après-midi.
Pour l’organisation d’ateliers similaires, contacter Fabrice Gabriel d’ELC Services au 06 85 42 14 88
25/02/2019 : 24 contrats partenaire jeunes signés
Myriam Mulot, première adjointe au maire, en compagnie d’élus et d’Arnaud Mouillard, représentant du centre communal d’action sociale, a organisé le renouvellement des contrats partenaires jeunes (CPJ). Pour cela, ils ont accueilli mercredi 20 février, Emmanuel Marie, de la CAF 76, et vingt-quatre jeunes Bondevillais de 6 à 14 ans et leurs parents pour la signature des contrats.
Destiné aux 6-19 ans, le CPJ participe au financement d’une activité de loisirs (musique, gymnastique, football, karaté, twirling, Zumba) ainsi qu’à l’achat d’une partie de l’équipement. En contrepartie, l’enfant ou l’adolescent s’engage à participer à une action citoyenne comme le nettoyage de la forêt ou de la roseraie, la confection de gâteaux pour les aînés de la résidence autonomie du Parc ou apporter une aide à la médiathèque municipale Mathilde-de-Rouvres.
Cette année, 36 contrats dont 11 nouveaux bénéficiaires, ont été signés. On constate que les enfants âgés de 6 à 11 ans représentent un axe très fort du dispositif. Un grand nombre d’enfants sont issus du quartier Jean-Moulin. Le contrat existe depuis 1997 sur Notre-Dame-de-Bondeville et 1 095 CPJ ont ainsi été signés depuis.
21/02/2019 : Égalité homme-femme : Marie Gueudin, mère et entrepreneuse à Rouen, relève le défi chaque jour
Économie. Mère de famille ou chef d’entreprise ? Marine Gueudin n’a pas choisi. À Notre-Dame-de-Bondeville, la jeune femme mène de front le développement de sa société, Minimaki, et son rôle de mère au foyer. Un challenge de tous les jours.
Du 24 au 26 août prochain, les membres du G7 plancheront sur les mesures à prendre pour atteindre, enfin, l’égalité entre les hommes et les femmes. Hier, le Conseil pour l’égalité homme-femme s’est réuni à l’Élysée afin de déterminer les propositions à soumettre au G7. L’actrice Emma Watson, ambassadrice de l’ONU femmes, les prix Nobel Nadia Murad et Denis Mukwege, et la Femen Inna Shevchenko ont pris part à cette réunion. La secrétaire d’État, Marlène Schiappa, en a profité pour annoncer que : « Le président de la République a décidé de créer un fonds de 120 millions d’euros par an pour aider les mouvements pour l’égalité femmes-hommes et féministes ».
À Rouen, de plus en plus de femmes prennent les devants et créent leur propre emploi afin de s’épanouir, autant dans leur vie professionnelle que dans leur vie de parents. C’est le cas de Marine Gueudin. La jeune femme de 30 ans, habitant Notre-Dame-de-Bondeville, est mère de trois bambins, Vadim, 4 ans et Sasha et Misha, des jumeaux de 16 mois.
Si elle élève ses enfants à la maison, Marine Gueudin n’a pas, pour autant, renoncé à sa vie professionnelle, bien au contraire : « J’ai préféré voir ce temps comme un tremplin vers mon épanouissement professionnel ». Alors que ses deux petits derniers n’ont que quelque mois, elle décide de lancer sa propre société. Depuis mai 2018, elle propose à la vente des vêtements pour enfant originaux et des objets de décoration. Si, pour le moment, elle a choisi d’acheter les tissus pour confectionner les pièces de sa boutique, d’ici peu, ce sont ses propres motifs qui orneront ses créations. « J’ai fait les Beaux-Arts », précise-t-elle.
Sa décision, cette jeune active ne l’a pas prise sur un coup de tête : « Au départ j’étais salariée [éducatrice technicienne spécialisée, NDLR]. Lorsque j’ai fait le calcul, le coût de la garde de mes enfants était équivalent à mon salaire. Travailler à temps plein, sans voir ses enfants, et n’avoir presque pas de salaire ? »
Les enfants pour source d’inspiration
Quant au congé parental, elle y renonce rapidement, entre autres, pour des raisons financières, mais pas que. « J’aime tellement les challenges que j’avais envie de profiter de cette période pour créer mon projet professionnel. J’ai pris un congé à la création d’entreprise d’un an, renouvelable une fois ».
Malgré sa volonté de fer, la mère de famille reconnaît toutefois les freins qui peuvent conduire certains parents à renoncer : « Le plus dur, c’est l’administratif. C’est long et difficile. Et au niveau charge, on ne sait pas trop ce qu’on paie. Mais la Chambre des métiers et de l’artisanat propose de nombreuses formations ». Pour le moment, elle n’y a pas eu recours.
C’est auprès des enfants qu’elle a acquis ses compétences. Tout d’abord, ceux dont elle s’occupait en tant qu’éducatrice : « Nous avions créé une mini-entreprise avec le soutien de l’association Entreprendre pour apprendre ». C’est comme ça que j’ai appris les bases ».
Quant à ses connaissances en couture, c’est également auprès des jeunes qu’elle les acquiert : « À la demande des enfants, j’avais monté un atelier de couture. Nous avons appris à coudre ensemble. » Pour le choix des modèles, c’est sa progéniture qui l’inspire : « Mes gabarits grandissent en même temps que mes enfants. » Et côté design, là encore, c’est sa vie de maman qui s’en mêle : « J’ai besoin de vêtements pratiques, faciles à mettre, et qui résistent bien au lavage. Avec des jumeaux, je ne peux pas me permettre d’avoir des vêtements compliqués. »
Au quotidien, la jeune femme jongle entre ses deux rôles. « Le matin, je prépare mes enfants. J’emmène le plus grand à l’école puis, pendant la sieste de Sasha et Misha, je travaille. Quand la sieste est courte, je couds pendant qu’eux jouent. L’après-midi leur est consacré ». Le soir, la jeune femme dessine et effectue ses recherches de modèles. Ce travail, à temps plein, l’occupe sept jours sur sept. Heureusement, l’entrepreneuse est soutenue autant par son conjoint que par ses enfants dans son projet.
Et Vadim, son fils aîné, est déjà atteint par le virus. « Il fabrique ses propres pantalons. Il choisit le tissu, le découpe avec les gabarits que je lui ai faits, puis nous le cousons ensemble. Il espère devenir un grand couturier ! »
Minimaki
Envie d’un petit pantalon ou d’une robe à la fois simple, pratique et originale ? Rendez-vous sur le site www.minimaki.net de Marine Gueudin pour découvrir ses créations.
Outre des pantalons, sarouels, des jolies robes, des salopettes, des petits chaussons et d’adorables bloomers, la créatrice propose des coussins, illustrés par d’aériennes aquarelles, et des sacs à main. Son travail sera mis en valeur en mars, dans la boutique La Vitrine, 51, rue Molière à Rouen.
21/02/2019 : Livres sans frontières : budget serré et poursuite de l’action solidaire
Notre-Dame-de-Bondeville. Malgré un budget serré, l’association Livres sans frontières entend poursuivre les envois d’ouvrages à l’étranger. 48 000 livres ont été donnés en 2018.
L’association Livres sans frontières a tenu son assemblée générale, mercredi 6 février, sous la coprésidence de Jean-Marie Couronne et Pierre Nouaud, ses nombreux adhérents, et Michèle Guérout, adjointe représentant la municipalité. Pierre Nouaud a présenté le rapport moral de l’association, admettant au passage « Nous connaissons toujours des difficultés qui gênent notre action et génèrent de l’inquiétude. Tout d’abord les locaux dispersés sur tout le territoire de la commune, ce qui oblige à des déplacements continuels. Le nombre d’adhérents qui stagne autour d’une petite centaine, et nos soutiens fidèles, toujours présents et actifs, mais qui prennent de l’âge ».
À la recherche de soutiens
Le coprésident explique ainsi que l’arrivée de nouveaux membres « serait un renfort appréciable ». Il rassure sur la situation financière de l’association, « fragile, mais pas inquiétante dans l’immédiat », notamment grâce à la contribution des Villes de Notre-Dame-de-Bondeville, Rouen et Le Houlme, dont les représentants ont été chaleureusement remerciés. Si la piste de nouvelles subventions est explorée, le responsable déplore des contacts « longs à obtenir ».
Côté points positifs, il convient de noter « les livres récupérés, qui affluent de la part des particuliers, bibliothèques, libraires, éditeurs, établissements scolaires de la région, des écoles élémentaires à l’enseignement supérieur », le potentiel humain solide, grâce à France Bénévolat qui permet l’accueil de nouveaux bénévoles, une efficacité plus grande grâce à l’organisation du travail et à l’optimisation des moyens et une notoriété confirmée, avec de nouveaux contacts et partenariats, même hors région. Le soutien constant de la commune a également été souligné, tout comme le nombre d’envois de livres, jugé satisfaisant. « En 2018, nous avons réussi à envoyer plus de 48 000 livres, dont 22 160 livres vers la ville de Kahn, au Cameroun, 20 540 ouvrages vers Djibouti, deux sacs postaux vers le lycée de Niodior, au Sénégal, 27 livres destinés à une fratrie basée à Ankara, ou encore une palette entière à destination de l’Institut français au Monténégro. Tout cela n’aurait pas été possible sans l’engagement de tous les bénévoles, de façon quotidienne et fidèle, dans la bonne humeur et l’énergie décisive en cas d’urgence. »
Les perspectives pour 2019 ont ensuite été annoncées, avec l’envoi de deux conteneurs pour le barreau de Port-au-Prince, en Haïti et pour Matadi, au Congo, courant février. D’autres conteneurs, en cours de montage, devraient prendre la route par la suite, notamment vers le Burkina Faso, la Guinée, le Cameroun. Ces dossiers sont, pour l’heure, à l’étude, la question du financement restant toujours un point délicat à gérer pour les partenaires de l’association.
La réunion s’est terminée avec l’élection du nouveau bureau. Jean-Marie Couronne quitte la coprésidence, et faute de candidats, sont élus ou réélus Pierre Nouaud, président ; Pierre Rohmer, trésorier ; Claire Schreder, trésorière adjointe ; Françoise Juhin, secrétaire ; Dominique Eudeline, secrétaire adjointe.
Contact : 07 83 08 35 85 ou livres.sans.frontières76@gmail.com. Plus d’informations sur www.livres-sans-frontieres.org
18/02/2019 : Bilan et projets de l’orchestre d’harmonie de Notre-Dame-de-Bondeville
Notre-Dame-de-Bondeville. Nouvelle année et nouveaux projets pour l’orchestre d’harmonie de la commune.
L’orchestre d’harmonie de Notre-Dame-de-Bondeville (OHB), présidé par Nadine Bizet, a réuni ses adhérents le samedi 9 février pour faire le point sur 2018 et annoncé les rendez-vous pour 2019.
La séance a été ouverte avec un hommage rendu à Françoise Métayer, remarquable musicienne, décédée. Après les vœux de la présidente et un point sur les finances de l’association présenté par Agnès Grandrou, Rémy Métayer a fait part des projets 2019.
Dans la continuité du travail commun avec l’école de musique du Houlme, les musiciens se produiront en mai et en juin au Houlme.
Stage de formation en août
Dans le cadre du festival de printemps, l’orchestre donnera un concert à Houppeville au mois de mai. Durant la deuxième quinzaine de juillet, l’orchestre prendra la direction du Canada. Il se produira à Québec et à Rimouski avec les orchestres locaux.
Le dernier week-end d’août, les musiciens se retrouveront à Saint-Nicolas-d’Aliermont lors d’un stage de formation de chef d’orchestre organisé par l’Union départementale des sociétés musicales de Seine-Maritime, l’occasion de travailler intensément, de monter rapidement des œuvres puis d’offrir au public un concert de qualité dans cette commune et à Notre-Dame-de-Bondeville.
Contact : orchestre.harmonie@laposte.net
16/02/2019 : Notre-Dame-de-Bondeville : de nouveaux élus au conseil municipal des enfants et des jeunes
Les élections du conseil municipal des enfants et des jeunes (CMEJ) se sont déroulées, jeudi 7 février, à l’hôtel de ville, avec la participation des huit classes de cycle III (CE2, CM1 et CM2) des trois écoles élémentaires de la ville. En présence du maire, Jean-Yves Merle, et des élus et représentants du service jeunesse, 188 élèves ont apporté leur participation citoyenne à la vie locale en votant, chacun ayant en sa possession une carte d’électeur personnalisée à son nom, similaire à celles des adultes.
Une campagne auprès des camarades
Pour ces élections, vingt-huit enfants se sont portés candidats pour représenter leur école et leur ville ; dix candidats à l’école André-Marie pour cinq sièges, onze à l’école Victor-Hugo pour cinq sièges, et sept à l’école Jean-Moulin, pour quatre sièges. Le nombre de sièges a été défini proportionnellement aux effectifs de chaque établissement. Les aspirants aux postes ont réalisé des affiches, disposées dans les écoles correspondantes, indiquant les raisons de leur candidature, ainsi que les projets qu’ils souhaitaient défendre en faveur des enfants de la ville et d’ailleurs. La campagne électorale s’est déroulée pendant trois jours, au cours de la semaine précédant les élections, période ou chacun a pu présenter son programme auprès de ses camarades. Le jour du vote, les électeurs ont pu prendre connaissance, une dernière fois, des programmes affichés dans la salle Jules-Ferry, avant de se voir remettre une enveloppe et un bulletin de vote. Le CMEJ a pris soin de respecter la parité garçons-filles. Cette première démarche citoyenne a été une expérience un peu stressante pour certains, enthousiasmante pour d’autres, mais très enrichissante pour l’ensemble. Les quatorze élèves élus en élémentaire seront rejoints par quatre collégiens, qui feront partie, eux aussi, du conseil, au terme d’élections.
15/02/2019 : Notre-Dame-de-Bondeville : envoi de livres à Haïti par l’association Livres sans frontières
L’association Livres sans frontières a procédé, vendredi 8 février, au chargement de 9 540 livres dans un container à destination du bâtonnier de Port au Prince, et deux palettes de livres scolaires à destination du centre Saint-Joseph à Gonaïves. Une initiative du cabinet d’avocats d’affaires Sagasser, un projet au soutien des communautés juridiques haïtiennes.
Suite au tremblement de terre en Haïti, les communautés juridiques locales se trouvent privées des ressources documentaires nécessaires au bon exercice de leur profession. Haïti partage avec la France une tradition juridique commune héritée du code Napoléon. Les avocats du cabinet Sagasser ont souhaité devenir des protagonistes de premier plan au soutien des avocats haïtiens qui ont besoin de toute l’aide disponible pour accomplir leur mission dans les meilleures conditions. L’expédition de ces ouvrages juridiques est un enjeu essentiel. Sagasser a pris l’initiative de créer Iter justicia, projet animé par un vif esprit de partage, et d’appeler à la mobilisation de leurs confrères avocats qui ont donné des livres, même d’occasion, et une contribution financière, afin de s’associer à ce projet d’envergure et participer au rayonnement du droit français.
06/02/2019 : L’open de tennis de Notre-Dame-de- Bondeville est terminé
L’Open de tennis 2019 organisé par le BTC (Notre-Dame-de-Bondeville tennis club), s’est déroulé du jeudi 17 janvier au dimanche 3 février au sein du club, sur les courts couverts. 101 personnes dont treize femmes,venues en grande majorité des clubs de la région rouennaise, ont participé au tournoi ouvert aux non-classés à 15.
La finale s’est déroulée dimanche 27 janvier. Chez les hommes, Alexandre Gautier du MSA TC (15), a battu Grégoire Chalot (15) du Houlme TC 6-1, 6-0. Chez les dames, Laura Vervins du Pavilly TC (15/1) a battu Pascaline Gibon (15/1) du Pavilly TC, 4-6, 6-3, 6-4. Gilles Grousset (30/1) du Houlme TC a remporté en 3 sets la finale 4e série messieurs.
04/02/2019 : Notre-Dame-de-Bondeville : café des parents sur le thème du harcèlement
Dans le cadre des actions menées sur la parentalité en faveur des habitants du quartier prioritaire de Notre-Dame-de-Bondeville, un café des parents s’est tenu le mardi 29 janvier dans les locaux du PIJ (Point information jeunesse), sur le thème du harcèlement.
L’échange a été animé par Flore Simon, psychologue, travaillant pour l’association EPE (École des parents et des éducateurs) et par Arnaud Mouillard, coordonnateur du PRE (Programme de réussite éducative) au CCAS de la Ville.
« Lorsqu’un enfant est insulté, menacé, bousculé ou reçoit des messages injurieux à répétition, on parle de harcèlement », rappelle Arnaud Mouillard. Il précise : « Ce café des parents est un moment de rencontre très apprécié. Il a permis d’écouter, de conseiller et d’orienter les parents mais aussi parler des signes qui peuvent alerter sur le harcèlement d’un enfant. »
Le numéro vert « Non au harcèlement » est le 3020.
Le prochain café des parents aura lieu le 5 mars 2019.
01/02/2019 : Justice. Le bourreau qui se dit victime de la violence de sa conjointe condamné à 6 mois de prison
Dès le mois d’octobre dernier, un riverain de Notre-Dame-de-Bondeville tire la sonnette d’alarme. Il se dit souvent dérangé par des cris en provenance de chez ses voisins, et redoute d’être confronté à des violences conjugales. Peu de temps après, sa voisine se confie à lui et confirme ses soupçons.
Le 2 décembre 2018, le conjoint, âgé de 42 ans, est auditionné par les policiers, tout comme son épouse, qui avait jusqu’alors laissé leurs nombreuses convocations sans suite. Elle évoque des coups de poing, des gifles et même des morsures. « Il me violente tellement souvent que je ne compte plus », explique-t-elle. La victime assure que son bourreau lui a déjà fêlé une côte, mais le prévenu, lors de l’audience au tribunal correctionnel de Rouen le 21 janvier, donne un tout autre scénario à propos de ladite blessure : « Ce que je vais vous raconter paraît absurde, mais c’est la vérité. C’est son père qui s’est assis sur elle et son frère l’a scotchée. En tout cas, c’est ce qu’elle m’a dit ».L’homme reconnaît toutefois sa violence, mais il affirme que sa compagne, qu’il a rencontrée pendant leur internement respectif à l’hôpital psychiatrique de Saint-Étienne-du-Rouvray, est instable et lui fait également subir des mauvais traitements.
« J’ai subi, mais je devais me défendre »
Ses accès de colère s’apparentent, selon lui, à de la légitime défense. « Je me suis juste défendu. Pendant longtemps, j’ai subi, mais je devais me défendre. Elle prend des chaises, des couteaux et des fourchettes pour les jeter sur moi. Je ne lui en veux pas, c’est à cause de ses problèmes psychologiques », avance-t-il. Concernant les gifles qu’il reconnaît avoir données à sa conjointe, il détaille : « Je ne considère pas cela comme de la violence, comme peuvent l’être les coups de pied ou les coups de poing ». Les marques sur le corps de la victime, que le voisin a formellement constatées, seraient, toujours d’après la version du prévenu, des mutilations qu’elle s’est elle-même infligées. « Une fois, elle a fait une crise, je ne savais plus quoi faire. Je l’ai enfermée dans la salle de bain et elle s’est mutilée. »
Le 15 juillet dernier, le tribunal correctionnel de Rouen l’a déjà condamné à 15 mois de détention avec sursis, pour des faits de violences similaires à l’encontre de sa compagne. « Monsieur n’a pas l’air de comprendre qu’il est le seul prévenu à la barre, ce n’est pas le procès de Madame ! Il est urgent qu’il prenne conscience de sa responsabilité », peste l’avocat de la partie civile. L’avocate de la défense rétorque : « Nous ne parlons pas d’une femme battue, mais d’une femme qui reçoit des coups et en donne également. C’est leur mode de vie », plaide l’avocate de la défense. Le tribunal prononce une peine de 6 mois de détention et révoque son sursis de 15 mois.
01/02/2019 : Interpellé ivre et sans permis, à la sortie d’un chantier qu’il venait de cambrioler à Notre-Dame-de-Bondeville
Un homme a été interpellé pour avoir volé des matériaux sur un chantier à Notre-Dame-de-Bondeville dans la soirée du jeudi 31 janvier 2019.
Un homme a été interpellé pour avoir volé des matériaux sur un chantier à Notre-Dame-de-Bondeville dans la soirée du jeudi 31 janvier 2019.
Vers 19 h 15, un vol en cours sur un chantier à Notre-Dame-de-Bondeville est signalé à la police. Deux hommes sont en train de charger du matériel volé dans un Renault Espace.
Deux grammes dans le sang
Lorsque la police arrive, le monospace, avec une personne à bord, s’engage route de Dieppe. Contrôlé le conducteur, un homme de 45 ans vivant à Notre-Dame-de-Bondeville, reconnaît avoir volé sur le chantier avec un complice.
Ramené au commissariat, il est dépisté à 1.04 milligrammes d’alcool par litre d’air expiré (environ 2,08 g/l de sang). Il roule également sans son permis, qui a été suspendu.
Sept sacs de ciments et des bastaings dans le coffre
Dans son véhicule, perquisitionné vendredi matin, 7 sacs de ciment et des bastaings ont été retrouvés.
01/02/2019 : Notre-Dame-de-Bondeville : bilan et récompense au gymnastique club bondevillais
Le gymnastique club bondevillais a tenu son assemblée générale le mardi 29 janvier à la salle Henri-Courtine du complexe sportif Marcel-Sauvage. Une trentaine de personnes était présente dont Philippe Richier, adjoint en charge des sports, adhérents et le comité directeur de l’association. La présidente, Chloé Delafosse, a évoqué la saison passée avec notamment la Semaine en rose qui contribue à sensibiliser les adhérents au dépistage précoce du cancer du sein et l’assemblée générale, en février 2018, marquée par le départ du président, Jean-Luc Quibel après 38 ans de bénévolat au sein du club.
Fin juin 2018, le club comptait 373 adhérents soit 23 de moins que la saison précédente. Ce rapport moral a été l’occasion de rappeler l’importance des bénévoles qui travaillent au quotidien pour pérenniser les valeurs du club : convivialité, esprit familial, rigueur et sérieux tout en proposant dix activités diversifiées pour tout âge.
La présidente a annoncé qu’en juin 2019, le club fêtera son 40e anniversaire, associé au départ à la retraite de Sylvie Henry, animatrice et fondatrice de l’association en 1979. L’association compte dix bénévoles.
Au terme de l’assemblée le club, en collaboration avec la municipalité, a remis la médaille échelon bronze de la Jeunesse, des sports et de l’Engagement associatif à Jean-Luc Quibel, président de 1980 à 2018.
30/01/2019 : Notre-Dame-de-Bondeville : les projets 2019 à l’Ehpad Côte de velours
L’adjointe au maire, Michèle Guérout, accompagnée d’élus et administrateurs, s’est rendue à l’Ehpad Côte de velours pour la traditionnelle présentation des vœux aux résidents et au personnel. L’élue a remercié chacun pour son engagement : « Je sais combien la tâche de chacun est indispensable mais aussi complémentaire des autres. Qu’en 2019, nous continuions à faire preuve de sagesse, de raison dans nos relations avec les autres mais aussi de tolérance et surtout d’optimisme. »
Acquisition de vélos électriques.
Claire Théodore, adjointe de direction, a évoqué les projets pour l’année, à commencer par l’installation, dans les 62 logements, de rails permettant de faciliter les manutentions et d’améliorer l’accompagnement des personnes et les conditions de travail des professionnels. Ce projet est financé pour moitiépar la Carsat Normandie. Elle a aussi annoncé la mise en œuvre d’un projet de préparation des médicaments par une pharmacie de ville qui permettra aux infirmiers de disposer de plus de temps auprès des personnes âgées. L’établissement fera l’acquisition de vélos électriques avec une plate-forme permettant d’y positionner un fauteuil roulant, afin que les professionnels puissent proposer des sorties vélo aux résidents n’ayant plus la possibilité de pédaler eux-mêmes. Ce projet sera financé, en partie, par la Fondation Hôpitaux de Paris - Hôpitaux de France.
À noter qu’une semaine de vacances, cet été, est en prévision pour cinq résidents. De nombreuses fêtes seront organisées avec, notamment un brunch le 20 mars pour fêter le début du printemps et une fête de l’été le 14 juin. « Ces nombreux projets seront portés en lien avec les Ehpad de Maromme et Montville », a souligné la directrice adjointe.
23/01/2019 : Notre-Dame-de-Bondeville : 22e forum des voyageurs samedi 26 et dimanche 27 janvier 2019
L’association « ABM Rouen -Voyage...Voyages », aventure du bout du monde, organise son 22e forum des voyageurs, en partenariat avec Notre-Dame-de-Bondeville, les samedi 26 et dimanche 27 janvier.
Cette manifestation, organisée par des bénévoles, permet la rencontre, l’échange d’informations et d’expériences entre les passionnés de voyages. Ce forum ne ressemble à aucun autre. Ici, il n’y a rien à vendre. Les exposants, sont les membres de l’association, prêts à partager avec les visiteurs les endroits retirés et souvent magiques qu’ils recherchent. La visite aux stands permet d’avoir des réponses à des questions sur un prochain voyage, comme l’Afghanistan, l’Australie, l’Ouest américain, la Birmanie, le Bouthan, le Népal et Tibet, la Corée du sud, l’Himalaya, l’Iran, Madagascar, le Japon, le Vietnam et l’Inde. Des associations amies telle Mano a Mano, Soa Miditra e, Randocaminante, et Sur les chemins de Compostelle seront présentes.
22e forum des voyageurs samedi 26 et dimanche 27 janvier à l’espace Jules-Ferry, salle André-Gide et à la mairie de Notre-Dame-de-Bondeville. Renseignements auprès de Michel Lelièvre au 06 63 85 46 89 ou Denis Besnard au 06 81 78 81 55 ou abm.rouen@free.frwww.abm-voyage...voyages.org
17/01/2019 : Tentative d’enlèvement près de Rouen : la police lance un appel à témoin
Dans la cadre d’une enquête portant sur la tentative d’enlèvement d’une femme à Notre-Dame-de-Bondeville près de Rouen, la brigade criminelle lance un appel à témoin.
La direction départementale de la Sécurité publique (DDSP) de Seine-Maritime nous prie de bien vouloir publier un appel à témoin :
« Dans le cadre d’une tentative d’enlèvement sur une femme majeure commise le jeudi 10 janvier 2019, vers 19 h 00, rue de l’Abbaye à Notre-Dame-de-Bondeville, à hauteur du commerce Leader Price (rue de la Fontaine à Notre-Dame-de-Bondeville), la brigade criminelle de la Sûreté Départementale de Seine-Maritime lance un appel à témoins afin d’obtenir tous renseignements utiles sur un fourgon blanc de type utilitaire et sur les deux individus se trouvant à bord de ce véhicule. Pour toutes informations, bien vouloir prendre attache avec la Brigade Criminelle au 02 32 81 42 66 ou le standard de l’Hôtel de Police de Rouen - 02 32 81 25 00 »
16/01/2019 : Notre-Dame-de-Bondeville : les aînés conviés à la cérémonie des vœux
Les élus ont accueilli mercredi 9 janvier, à la salle André-Gide, les Bondevillais âgés de 65 ans et plus ainsi que les aînés de la résidence autonomie du Parc et de la maison de retraite « La côte de velours » pour la présentation des vœux et un après-midi festif. Cent cinquante convives ont partagé ce moment convivial entre galette et danses.
Les prochaines animations à destination des seniors sont prévues le mercredi 6 mars dès 15 h, à la salle André-Gide, avec un après-midi crêpes animé par l’orchestre Ballandonne Live. Les inscriptions seront prises auprès du service fêtes et cérémonies du lundi 18 au jeudi 28 février. Mercredi 3 avril, spectacle à 14 h 30, animé par Les Vrais branchés du spectacle. Inscriptions du lundi 18 au vendredi 22 mars.
Le voyage annuel est programmé à l’occasion de l’Armada 2019 qui se déroulera à Rouen du 6 au 16 juin. Deux dates seront disponibles : le jeudi 6 juin ou le samedi 8 juin. Un repas sera offert à quai et les seniors pourront profiter d’une balade entre les voiliers sur la Seine. Les inscriptions auront lieu du 20 au 24 mai au service fêtes et cérémonies.
14/01/2019 : 20 nouveaux contrats jeunes à Notre-Dame-de-Bondeville
Myriam Mulot, première adjointe au maire, entourée d’élus et Arnaud Mouillard, représentant du centre communal d’action sociale, ont accueilli mercredi 9 janvier Emmanuel Marie, de la Caisse d’allocations familiales, vingt jeunes Bondevillais de 6 à 16 ans et leurs parents pour la signature et le renouvellement des contrats partenaires jeunes. Neuf nouveaux contrats ont été signés ce mercredi.
Le contrat partenaire jeunes a pour objet de favoriser l’accès des jeunes, par leur implication et leur participation, à une activité d’utilité publique ou d’insertion sociale. Les signataires participent à différentes activités comme le football, la gymnastique, le karaté, la boxe, l’équitation et le théâtre et, en contrepartie, s’engagent à nettoyer la forêt ou la roseraie, aider au Point info jeunesse et faire des gâteaux pour les aînés de la résidence du parc.
09/01/2019 : L’appel à la cohésion de la première adjointe de Notre-Dame-de-Bondeville
C’est Myriam Mulot, première adjointe au maire, qui a présidé la cérémonie des vœux organisée vendredi 4 janvier à l’hôtel de ville. « Si 2018 a été synonyme de douleur et de peine, elle l’a été aussi d’espoir et de succès. Espoir, car les Français redécouvrent à chaque épreuve la force de l’unité et du rassemblement. Dans un contexte marqué par une diminution des recettes de l’État pour les collectivités, notre commune souhaite continuer d’être réputée pour le maintien de ses services accessibles à tous », a souligné l’élue.
Parmi les bonnes nouvelles, Myriam Mulot a cité le groupe pharmaceutique sud-africain Aspen qui a inauguré deux nouveaux ateliers de production et investit 100 millions d’euros avec la prévision d’une centaine d’embauches à la clef. « 2018, c’est également la reconnaissance du projet environnemental que nous menons par de petites actions, l’acquisition d’un premier véhicule électrique, l’installation de volets solaires. Chacun de nos achats prendra en compte le développement durable, dans le droit fil de la COP21. Concernant l’amélioration du cadre de vie, nous avons mis en place des dispositifs chargés d’assurer la
La première adjointe a évoqué deux projets qui seront initiés d’ici la fin du mandat, sur deux friches industrielles, la zone Linoleum et la zone Leboucher, mais sans donner de détails.
Elle a conclu avec un appel à la cohésion : « Faisons fi de nos divergences et défendons ensemble les intérêts de notre territoire, protégeons ensemble notre bien commun. »
05/01/2019 : Un nouveau directeur des ressources humaines à la mairie de Notre-Dame-de-Bondeville
La mairie de Notre-Dame-de-Bondeville connaît des changements coté direction. Après l’arrivée de Laurent Guerrier au poste de directeur général des services, la municipalité a dû remplacer son ancien directeur des ressources humaines parti pour de nouvelles aventures professionnelles beaucoup plus au sud de notre pays.
Parmi bon nombre de candidatures, c’est Baptiste Desvaux qui a été retenu pour occuper cette fonction. Entouré de son équipe, c’est à lui qu’incombe désormais la bonne marche de la collectivité bondevillaise qui emploie 125 agents. Après neuf années comme encadrant dans le secteur privé, en grande distribution, le nouveau DRH a souhaité orienter sa carrière professionnelle dans la fonction publique, dans un domaine qu’il affectionne, la gestion des ressources humaines. « J’aime les nouveaux défis, confie Baptiste Desvaux, avec enthousiasme. La gestion des ressources humaines est un domaine qui m’est cher car je pense qu’il est garant de la bonne marche de toute structure. Mon rôle se doit d’être profondément humain avec chacun car il faut trouver des solutions pour travailler tous ensemble, et pour sortir des conflits. C’était ma ligne de conduite dans le privé et ça le restera dans le public. Je fais confiance à mon sens de l’écoute. »
Le nouveau directeur des ressources humaines souhaite faire du bien-être au travail et de l’épanouissement, ses principaux objectifs. « Avoir l’opportunité de me consacrer entièrement aux agents de la collectivité de Notre-Dame-de-Bondeville est non seulement une chance mais c’est aussi une importante responsabilité. Je souhaite apporter toutes mes connaissances et mon savoir-faire en termes de gestion du personnel et j’accompagnerai la collectivité dans tous ses projets aux côtés de tous les agents. »
04/01/2019 : Livres sans frontières, une association très active à Notre-Dame-de-Bondeville
Notre-Dame-de-Bondeville. L’association Livres sans frontières a envoyé 50 000 ouvrages dans le monde en 2018.
L’association Livres sans frontières a connu deux moments d’intense activité en cette fin d’année avec, dans la même semaine, le chargement et l’envoi de livres. Mardi 18 décembre, Pierre Sossou, président de l’ATN, Alliance togolaise de Normandie, est venu avec une ambulance destinée à la Ville de Lomé, prendre 123 cartons contenant 2 460 livres, essentiellement des manuels scolaires.
Une aide à des avocats
Vendredi 21 décembre, des bénévoles et trois salariés de Promaction, association de placement de personnes en recherche d’emploi, ont chargé 1 108 cartons dans un conteneur de 20 pieds ayant pour destination Douala, au Cameroun.
« Nous avions été contactés par Zachée Pouga, un avocat new yorkais, président de l’association humanitaire Excellence plus camerounaise, qui souhaitait venir en aide à l’école publique de Kahn, située dans la région du littoral, expliquent Jean-Marie Couronne et Pierre Nouaud, les deux coprésidents de Livres sans frontières. Nous nous sommes donc rassemblés dès 8 h pour tout charger dans le conteneur. Et à 9 h 30, le camion était prêt à repartir. Les 22 160 livres collectés, manuels scolaires du primaire et du secondaire, encyclopédies, dictionnaires, revues pour la jeunesse, littérature pour adultes et fonds bibliothécaire, seront répartis dans différents établissements du Cameroun. » Au cours de l’année 2018, Livres sans frontières a ainsi envoyé près de 50 000 livres dans divers pays : Maroc, Bénin, Togo, Djibouti, Monténégro, Burkina Faso et Cameroun, dans le but de faire vivre la francophonie.
« Et en janvier, poursuivent les deux présidents, nous espérons bien faire partir deux nouveaux conteneurs pour soutenir les avocats haïtiens dont les archives ont été détruites par un tremblement de terre, et ceux de Kinshasa dont le barreau a connu un incendie dévastateur. Avec l’aide du cabinet d’avocats parisien Sagasser, nous avons rassemblé, dans ce but, de nombreux ouvrages de droit qui devraient leur être d’une aide précieuse. »
03/01/2019 : Notre-Dame-de-Bondeville : ouverture de la micro-crèche « Câlins doudous »
Située sur le site Gresland, la micro-crèche « Câlins doudou » a ouvert ses portes mercredi 2 janvier. La directrice, Sanaa Belhadj, titulaire d’une licence en anglais et d’un CAP petite enfance, est assistée de Charline, éducatrice pour jeunes enfants, Margot, auxiliaire de puériculture et Cassandra, assistante d’accueil petite enfance.
La structure permet l’accueil de dix enfants âgés de 4 mois à 4 ans et est dotée d’une grande superficie. Un hall d’accueil, un local poussettes, un bureau et un espace réservé au personnel sont situés à l’entrée de la micro-crèche. Pour les enfants, un espace de vie de 70 m² est aménagé avec des tables, des chaises et des jeux, une salle d’hygiène, une buanderie, deux dortoirs dotés de lits adaptés à barreaux pour les plus petits et une cuisine. Celle-ci permet la préparation sur place de petits plats à partir de produits frais, locaux et bio. « Nous souhaitons mener des projets pédagogiques comme l’initiation à l’anglais, au langage des signes, ainsi que des rencontres intergénérationnelles, explique la directrice. Et nous favorisons l’ouverture des enfants sur le monde et les différences que l’on peut rencontrer et observer. »
Micro-crèche « Câlins doudou » ouverte du lundi au vendredi de 8 h à 19 h. Tél. 02 32 13 65 60 ou 06 67 21 92 41.
03/01/2019 : Découverte de l’indienne, un tissu venu d’Orient à la Corderie Vallois de Notre-Dame-de-Bondeville
Les musées de la Métropole mettent en avant leurs collections. Aujourd’hui, un tissu importé d’Orient à la corderie Vallois.
Coton léger et motifs délicats. Mais comment est né le tissu qui compose nos blouses et chemises d’été préférées ?
L’indienne, nom de ce coton imprimé, est née, je vous le donne en mille, en Inde. Cette toile légère et chatoyante débarque en Europe au début du XVIIe siècle. « On ne connaît alors que des tissus lourds et sombres », rapporte Mylène Beaufils, commissaire de l’exposition « Du coton et des fleurs : textiles imprimés de Normandie », visible jusqu’au dimanche 19 mai à la corderie Vallois à Notre-Dame-de-Bondeville. Installée au dernier étage, cette exposition inédite retrace l’histoire de ce tissu au cœur de la vallée du Cailly où de nombreux ateliers la produiront jusqu’en 2008.
En France, un édile interdit sa production et son importation pendant quatre-vingts ans afin de ne pas concurrencer les créations traditionnelles. Mais la contrebande permet tout de même de l’introduire à la cour de France.
Naissance de nombreux ateliers
Lorsque l’interdiction est levée, de nombreux petits ateliers naissent en France, et notamment dans la vallée du Cailly. Puis, ces ateliers se regroupent jusqu’à former les grandes fabriques que nous connaissions encore récemment.
L’exposition présente également le rôle, moins connu, de l’importation de l’indienne dans le commerce triangulaire.
Dans un registre plus joyeux, de magnifiques catalogues dévoilent des échantillons de tissus aux couleurs toujours aussi vives et motifs travaillés. Ce travail est d’ailleurs mis en valeur par des esquisses de créateurs de motifs comme ceux de Buquet.
Des plaques de cuivre et/ou de bois sont exposées afin d’expliquer le fin travail d’orfèvrerie qui permettait de créer ces motifs.
Enfin, de belles pièces du costume de Normandes en indienne dévoilent tout l’intérêt que nos ancêtres portaient à ce tissu.
Après un léger déclin au début du XXe siècle, le tissu imprimé fait son grand retour après la guerre avec la naissance du prêt-à-porter.
Si aujourd’hui la région ne produit plus d’indienne, cette étoffe reste très présente dans nos dressings. Une très belle exposition destinée autant aux amoureux d’histoires, de techniques et que de mode.
Exposition Du coton et des fleurs : textiles imprimés de Normandie visible jusqu’au 19 mai à la Corderie Vallois, 185 route de Dieppe à Notre-Dame-de-Bondeville. Horaires : tous les jours, de 13 h 30 à 18 h (fermé le 1er mai). Tel : 02 35 74 35 35.
Source : Paris Normandie